Les obsèques

Lors de la disparition d’une personne proche, l’Église est là pour vous aider, vous entourer de sa prière et témoigner de son Espérance. Pour les chrétiens la vie avec Dieu est possible au-delà de la mort. Parce que Dieu nous aime, il nous donne la vie éternelle.

Pour préparer la célébration

  • Pour fixer l’heure des obsèques religieuses, les familles sont priées de contacter d’abord le service de pompes funèbres de leur choix.
  • Sitôt qu’un service de pompes funèbres a signalé des obsèques à la paroisse, une personne bénévole de Saint-Médard, membre de l’équipe d’accompagnement des familles en deuil, prend contact avec un proche du défunt, afin de fixer un rendez-vous personnel à la convenance des uns et des autres.
  • Au cours de ce rendez-vous, nous vous proposons écoute et conseils pour comprendre le rituel des obsèques chrétiennes, pour personnaliser la célébration, pour vous engager autant que vous le souhaitez et le pouvez dans une prière pour ce moment difficile de la vie.
  • Le jour des obsèques, toujours présidées par un prêtre ou un diacre, la personne de l’équipe d’accompagnement des familles en deuil sera présente, vous accueillera et participera à la prière commune.
  • Une fois par an, début novembre, la paroisse invite les personnes qui ont eu un deuil à affronter pour une messe de l’espérance chrétienne un dimanche matin dans l’église Saint-Médard.

Celui qui aime a déjà franchi la mort, rien ne pourra le séparer de l’amour du Dieu vivant

Le service catholique des obsèques

Parmi les offres de services funéraires et afin d’aider les familles confrontées au décès d’un proche et à la complexité des démarches à réaliser dans ces circonstances douloureuses, le diocèse de Paris a soutenu la création d’un service catholique des obsèques. Mais vous pouvez bien sur vous adresser à l’organisme de votre choix.

Inhumation ou crémation ?

L’Église a toujours privilégié l’inhumation à l’image de l’ensevelissement du Christ mort dans l’attente de la résurrection. Il convient donc de garder cette foi même si les rites ont changé et que la place de la mort s’est modifiée dans nos sociétés modernes. Aujourd’hui, une crémation n’est pas considérée comme un acte antireligieux sous certaines conditions : qu’elle ait lieu après les obsèques (sinon les obsèques se feront sans l’urne), que les cendres soient déposées dans un cimetière, que l’acte de crémation ne soit pas une négation de la foi.